En 1826, elles étaient huit.
Huit colonnes qui se dressaient dans la forêt de Chaux.
Une a disparu lors de l'implantation d'une roue départementale
au début de la Seconde Guerre.
Ces colonnes ont été construites pour montrer la toute puissance forestière
ce que l'on appelait à l'époque les "eaux et forêts",
et cela pour impressionner les autochtones qui avaient pris de mauvaises habitudes et ne respectaient pas les lois :
en coupant du bois mort ou vif,
faisaient paître leurs porcs,
ou leurs vaches.
Grâce aux colonnes, l'ordre est revenu devant
la puissance de cette administration.
Ces "colonnes Guidons"
servaient aussi à diriger ( guider) les passants.
Le haut du chapiteau servait
aux visiteurs égarés
le bas aux forestiers.